[/list] • Création : 1/01/2010 • Stats : 89 messages/5 membres
• Contexte / Principe :
Spoiler:
“BIG BROTHER IS WATCHING YOU”
George Orwell, “1984”.
Cette phrase n’a jamais prit autant de sens qu’aujourd’hui. Ici, à Chiba, on ne croit plus aux lendemains insouciants. A vrai dire, on ne croit plus en rien depuis longtemps. Depuis huit années pour être précis, peut être plus. Violence, crimes, bas-fonds, le lot de tout état. Vivre dans la peur et dans l’angoisse, il n’y a rien de plus épuisant. Et pourtant, c’est mon quotidien. Votre quotidien. Notre quotidien. Et il est triste de dire que tout irait bien dans le meilleur des mondes si les gangs étaient le pire problème de la ville… Aujourd’hui il ne reste que doute, crainte et horreur en nos cœurs. Notre monde n’est plus celui que j’ai connu… La raison de tout ? La pire abjection que la vie ait connue… Et elle a un nom : Key. Survivre ou mourir. Elle est là, elle nous guète sans relâche ; notre propre fin. Nous n'avons plus le temps, ni le choix. Oui, tout ça c’est de la faute de Key … D’ailleurs qu’est-il ? Un serial killer ? Une entité surnaturelle ? Une psychose collective ? Une maladie ? La folie des hommes est incommensurable. Le nombre de cadavres du pays aussi. En l’espace de ces années le taux de mortalité s’est vu accroitre de 52%. Nous sommes tous perdus. La mémoire se délabre autant que notre raison, on devient violent, on en veut à ce monde. Nous sommes tous des cibles potentielles. Il y a les chanceux, et il y a les victimes. Eux, on les appelle « Arcanes », leurs symptômes se déclinent en douze stades influençant leur comportement. Douze marches, avant la fin, le fond du trou, le bout prématuré du chemin. Pire que la mort. Qu’est ce qui est plus terrible que de ne plus être ? La mort, la mort n’est rien. On vit puis on arrête de vivre. Pire que la mort, il y a l’oubli. Oublier. Être oublié. S’effacer de l’esprit des autres. Disparaitre de sa propre tête. Oui. C’est pire que de simplement mourir. Et c’est ce que Key fait, il nous force à nous évaporer, et pas juste physiquement… Notre propre existence effacée par l’amnésie forcée. Vous pouvez crier, courir ou vous cacher, lorsque la faucheuse est annoncée, il n’y a plus qu’à prier. Pourtant il est des gens suffisamment mauvais pour souhaiter la discorde : les « Crimson Blaze ». Haïr, vénérer Key, l’ignorer, à quoi bon ? Personne n’est à l’abri de ses coups. Si seulement les assassinats étaient l'unique problème… Humiliations publiques, sanctions, quel sera le prochain titre des journaux et le nouveau sujet du Chan IRC ?
Peut être vous…
« Nous ne savons pas pourquoi nous vivons. Mais nous savons pourquoi nous mourrons. »
Bienvenue en enfer.
Osore No MAZE.
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• Création : Depuis trop longtemps ; remis en forme le 16.05.2010 • Stats : 10 membres ; 72 messages.
• Contexte / Principe :
Spoiler:
XIXème siècle
Angleterre, banlieue Londonienne. Une atmosphère noire, des villes détruites et mortes, malades à en cracher leurs poumons. Un monde triste ; reclus du reste de la société actuelle. La raison est simple, les gens sont dépressifs, fous et internés, plus personne ne vient, plus personne ne part. De plus ou moins loin nous vient une histoire, celle d'un fou, d'un sadique, d'un assassin. Whitechapel, prostituées, nuit. Nul ne sait et ne cherche réellement à savoir qui est celui qui s'auto-surnomme « Jack the Ripper ». Assassin, charcutier de corps humains, mais à l'identité couverte, reproduite sur de vulgaires affiches avec un masque théâtral, blanc. N'est-ce pourtant pas la couleur de la pureté ? Quelle ironie.
XXème siècle
C'en est fini, désormais, le temps de ces meurtres inhumains, amas de chair et de sang. « Jack » s'en est allé, loin, loin. Ne reste qu'à savoir s'il se cache, s'il est parti ou s'il est mort. Les affiches, placardées dans toutes les villes, ont été retirées, ses signatures de sang rouge écarlates envolées. Mais ce n'est pas pour laisser place à un havre de paix et de bonheur. Nous viendrait de loin, d'Indochine dirait-on, un syndrome, une maladie restant incurable. X. Le « syndrome X ». Syndrome aux différentes conséquences. Fièvre, Alzheimer, Parkinson, schizophrénie, suicide et j'en passe des vertes et des pas mûres. Le pays est rongé de l'intérieur comme de l'extérieur, mais contrairement aux autres histoires à happy-end, il n'y a jamais eu aucun village Gaulois qui y survive. Alors l'île Britannique ne devient que débauche et luxure. « On a qu'une vie ! », rétorque sa majesté, lorsqu'elle se fait interroger sur ses projets futures pour la nation. Les hôpitaux fermés rouvrent, ceux déjà en service sont bondés, et avec ça les trois-quarts du personnel médical y réside. Comme patient. Ah ! Nous courons à notre perte, mes amis, je vous le dis.
XXIème siècle
Ahh.. Qu'il est bon de respirer cet air, aussi pollué soit-il. Que le syndrome X soit encore là, tout le monde se le cache et vit comme il le sent. La société reprend son chemin rapidement, oubliant au passage quelques chapitres dont tout le monde n'a que faire. « London Bridge », comme le dit la chanson, est « falling down », et sur l'autre rive se construit une ville nouvelle. Berceau d'une civilisation dite elle aussi nouvelle. Des étrangers débarquent et s'y installent, une communauté mixte est sur la majorité de la superficie de la ville. Seulement, à l'extrémité ouest, une bâtisse fort basse se construit. Une académie de lettres, réputée malgré sa nouveauté, dit-on. Une école de lettres, tu parles. On aurait pu y croire, si seulement elle ne s'appelait pas « Whitechapel » et que le « directeur au masque argenté » ne se fasse pas surnommer « Jack l'Éventreur » ou « Jack the Ripper » par les élèves en masse. Oui, cet établissement forme des mini-Jack, des assassins en herbe. Des monstres, des machines à tuer, sans foi ni loi, que l'on abattra si ils osent dire un seul mot sur ce qu'est cette école. Les entretiens entre les parents d'élèves et le directeur se font donc avec un faux directeur, chaque personne qui entre et sort de l'académie est épiée pendant vingt quatre heure, et à durée définitive pour les élèves et le personnel. Ceci dit, personne sauf ce roi masqué qu'est le directeur ne pourra vous retrouver, puisqu'il vous est interdit d'utiliser votre vraie identité. Soit vous vous en créez une, soit vous prenez ce pseudo d'assassin, qui vous a été distribué à votre rentrée. A part ceci, un hôpital, dont la plus part du personnel, comme la chirurgienne par exemple, est timbré s'est monté. Il n'est pas chaleureux mais a le mérite de le paraître, et d'être grand. Oui, les seuls internés sont atteints du syndrome X, et y restent à vie. Ou sinon, c'est juste histoire de camoufler ce virus encore bien trop présent.
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